9 mars 2008
Hyperboles.
Chairs fendues sous caractères typographiques, empâtements crochus sur touches illuminées, je t’écoute mon amour; je repose le combiné. Laisse planer quelques notes de musiques, des portées à la volée pour mieux accueillir ton délicieux silence; je dépose des fragments de larmes sur bande passante, mais oseras-tu les lire? Des vagues spirituelles au fond de mon verre; s’échouent ici bien des amours, des photos que tu dévoiles. Tu allumes, je deviens cendres. Réconforte-moi un peu, veux-tu?
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